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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 10:43
mardi 19.03.2013, 16:41
Tensions sociales dans le Boulonnais

Lundi, une centaine de salariés de l'entreprise de réparation de téléphonie mobile Sacel ont débrayé pendant 3 heures.

En cause, la renégociation des salaires et des primes.

 

De leur côté, les salariés d'Holcim à Dannes sont toujours en attente vis-à-vis de leur situation professionnelle future. Primes de mobilité et de déménagement sont au coeur des négociations.

source : la Semaine dans le Boulonnais

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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 10:12
Les salariés de la Société Générale dénoncent des destructions d'emplois silencieuses | CFE-CGC : l'actualité de l'encadrement | Scoop.it
From www.bfmtv.com - 
 Les syndicats de la banque ont lancé un appel à la grève ce mardi 8 janvier. Ils craignent des fermetures d’agences.

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 14:53

samedi 21.01.2012, 05:03 - La Voix du Nord

 De l'émotion et de la colère, chez les agents de la DDTEFP.
De l'émotion et de la colère, chez les agents de la DDTEFP.
| ÉMOTION |

Hier matin, la direction du Travail (DDTEFP) d'Arras avait le moral en berne. ...

 

Le suicide d'un de leurs anciens collègues, Romain Lecoustre, à Lille, mercredi, aurait pu, selon eux être évité. Ce jeune homme brillant de 32 ans était sorti major de sa promotion avant de devenir contrôleur, à Arras. « Nous avions fait notre formation d'inspecteur ensemble, à Lyon », évoque Rémi Bellois, inspecteur à Arras et délégué CGT. « Il avait connu des rapports difficiles avec la hiérarchie. Ce qui l'avait amené à demander son changement pour Lille. On pensait que cela allait mieux pour lui. Mais à Arras, on l'avait "broyé". Il avait soulevé des problèmes d'amiante dans les locaux. Les syndicats avaient émis des réserves sur le fonctionnement des élections professionnelles. Cela n'avait fait que tendre les relations. À Lille, il n'avait probablement pas eu le temps de se reconstruire ».

L'inspecteur s'était plaint de la pression au travail et avait déjà fait une tentative de suicide, à Arras. Il avait quitté Arras en novembre 2011. Son nom figure encore sur son ancien bureau. « C'était un gars brillant et charmant », confiait l'une de ses collègues arrageoises au bord des larmes, vendredi.

Michel Poivre (SUD), ému, soulignait les méfaits de la politique du chiffre, à Arras comme dans d'autres délégations de la DDTEFP. Les syndicats dénoncent une politique du rendement « totalement absurde » qui ne tient pas compte de la qualité. « On a toujours des remarques négatives. On ne sait pas nous dire quand on fait du bon travail. » Les effectifs plus restreints, notamment en catégorie « c » (secrétariat), sont mis en avant.

la direction régionale fait le déplacement

Des salariés s'étaient rassemblés, dans une salle de la DDTEFP, rue Pierre-Beregovoy, au cours de la matinée, vendredi. La direction régionale s'était déplacée pour l'occasion et l'on affichait des mines plutôt défaites, dans les couloirs, près des bureaux syndicaux. La directrice régionale, Anaïck Laurent, qui a pris ses fonctions en janvier, et ses collaborateurs ont écouté les agents qui, syndiqués ou non ont rejeté la responsabilité de ce mal être au travail sur le management. « Pour nous les responsables c'est eux ! », lâchait un inspecteur. « À Lille, les agents ont envahi les locaux de la direction régionale. Ici, ils ont pris les devant... » Selon les syndicats, la délégation d'Arras a déjà connu l'épreuve du suicide : celui d'un autre collègue de 32 ans, il y a deux ans. Lundi, les représentants syndicaux se réuniront en intersyndicale. En attendant on fait son deuil et on pense à la famille de ce collègue... Et on essaie d'oublier pourquoi c'est si souvent le cordonnier qui est le plus mal chaussé.

NICOLAS ANDRÉ

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 18:04

 

 Philippe Ternisien est le relais des cadres à la recherche d'écoute sur le secteur.Philippe Ternisien est le relais des cadres à la recherche d'écoute sur le secteur.

Ça y est, la Confédération

française de l'encadrement

(CFE)- CGC a désormais

pignon sur rue dans le

Montreuillois...

 

 

 

 

Le syndicat des cadres d'entreprises avait autrefois un petit local à partager à

Berck avec les autres syndicats, sans même y disposer d'un ordinateur ou

d'une armoire.

Mais depuis le début d'année, l'union locale de Montreuil, forte d'environ

185 membres, a un vrai pied-à-terre, à deux pas de la grand'place

de Montreuil.

 

Il était même inauguré vendredi après-midi. C'est Philippe Ternisien qui en

assure l'animation. Après dix années au Carrefour Market de Montreuil, il est

arrivé sur le site de Fruges. Manager de rayon, il s'est peu à peu détaché de

l'activité professionnelle pour se consacrer au syndicat. « J'avais souhaité

tourner un peu la page, a-t-il déclaré à ses collègues. D'abord concentré

sur la branche agro-alimentaire, je me suis ensuite tourné vers

l'interprofessionnel. »

 

Le président de l'union départementale, Alain Treutenaere, a souligné que le

local donnait enfin « une porte où frapper » aux personnels d'encadrement en

difficulté. « Nos services permettent de négocier les protocoles électoraux, de

fournir du conseil juridique en entreprise, un conseil prud'homal... Nous

intervenons dans les entreprises où il n'y a pas d'institution représentative du

personnel. » Le syndicat est en revanche implanté à Valeo, Hopale ou ou à

Carrefour Market.

 

La CFE-CGC relance ainsi son union locale de Montreuil, en sommeil ces

derniers temps. Elle est la septième UL du département, et la quinzième dans

la région. « En 2013, il nous faudra justifier notre représentation nationale

de 8%, a annoncé Raymond Annaloro, président de l'union régionale. Il nous

faudra investir dans des moyens de formation pour être à la hauteur

pour nous faire connaître au mieux. »

 

Une nouvelle étape après un colloque sur la souffrance au travail

en septembre dernier à Lille et un autre sur l'emploi le 1er juin.

 

A. BERTELOOT

 

UL de Montreuil, 53 place du Général De Gaulle à Montreuil.

Permanences le lundi de 16 h à 19 h

ou sur rendez-vous Philippe Ternisien Tél : 06 63 33 77 88.

 

(source : la Voix du Nord)

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 07:13

 

© AFP/Archives - Boris Horvat
© AFP/Archives - Boris Horvat

Une majorité (53%) des entreprises interrogées par l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) prévoit de recruter au moins un cadre au deuxième trimestre 2011, ce qui confirme une reprise de l'emploi pour cette catégorie professionnelle cette année, selon cette association.

Le nombre d'entreprises désirant recruter un cadre au deuxième trimestre est de dix points supérieur à celui du même trimestre de 2010, selon les résultats de ce baromètre trimestriel de l'Apec, publié mercredi.

Par ailleurs, 56% des entreprises ont recruté au moins un cadre au premier trimestre 2011, en hausse de six points sur un an. Ce ratio retrouve son niveau des trois premiers mois de 2008, avant la crise, relève l'Apec.

Le résultat de ce baromètre "laisse penser que la croissance du marché de l'emploi cadre ne devrait pas se démentir", affirme Jacky Chatelain, directeur général de l'Apec, cité par le communiqué.

Les volumes de recrutement semblent bien progresser: 46% des entreprises qui ont recruté au 1er trimestre affirment que leurs embauches ont été supérieures à l'an dernier, contre 32% qui font part d?une stabilité et 22% d'une baisse.

Tous les secteurs d'activité ont été dynamiques et plus particulièrement l'industrie, l'ingénierie-R&D, le conseil et services aux entreprises, l'informatique. Seuls la construction et le médicosocial affichent des résultats en demi-teinte.

Les jeunes cadres avec quelques années d?expérience demeurent la cible privilégiée des recruteurs, mais les prévisions d'embauche de jeunes diplômés ou de cadres très confirmés progressent aussi nettement.

Les offres d'emploi ont progressé de 69% au premier trimestre sur un an, avec en tête le conseil et services aux entreprises.

Le principal motif d'embauche reste le remplacement des départs mais pour plus d'un tiers des entreprises, le développement de l'activité a été le moteur du recrutement, cette proportion étant plus forte dans l'ingénierie-R&D (50%) et l'informatique (77%).

Les offres sur internet sont en plein boom: l'indice les mesurant ayant progressé de 88 points au premier trimestre sur un an.

Par ailleurs, 67% des postes qui étaient à pourvoir via l'Apec au troisième trimestre 2010 ont été pourvus trois à six mois plus tard. Mais les entreprises ont été plus nombreuses à déclarer avoir eu des difficultés à trouver des candidats adéquats: 61%, contre 55% un an plus tôt.

L'informatique, la recherche-développement et les travaux de chantiers sont les métiers pour lesquels le recruteur a eu le plus de difficultés. La communication et les ressources humaines ont attiré le plus de candidats.

Copyright © 2005 AFP. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) (dépêches, logo) sont protégées pas des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. Par conséquent, aucune des informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l'accord préalable écrit de l'AFP. L'AFP ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations."
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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 07:37

La très probable dernière séance de négociation sur la convention d'assurance chômage se tiendra le vendredi 25 mars 2011, à partir de 9h30. Après l'annulation de la séance de ce jeudi 11 mars, à la demande de la délégation patronale qui souhaite obtenir de nouveaux chiffrages de l'Unédic, les partenaires sociaux ont trouvé une nouvelle date avant la fin mars. Ce même jour était initialement programmée une négociation sur l'Apec ; par conséquent, comme de nombreux négociateurs sont en charge des deux dossiers, après l'annulation de la séance sur l'avenir de l'association pour l'emploi des cadres du mercredi 9 mars, celle du 25 mars devrait aussi être reportée. Pour revenir à la négociation de la convention d'assurance chômage, « quoi qu'il en soit, il faudra que l'on conclut ce jour », indique à l'AEF, Patrick Bernasconi, le chef de file de la délégation patronale.

La délégation patronale dispose donc quinze jours supplémentaires pour faire une nouvelle proposition sur la clause de baisse automatique des cotisations. En effet, ce point n'étant pas encore tranché au sein du patronat, « nous avons préféré reporter la séance d'hier plutôt que de tenir une réunion pour rien durant laquelle on se serait balancé des choses à la tête », résume Patrick Bernasconi. En pratique, « nous explorons de nouvelles pistes pour essayer de trouver un compromis acceptable avec les organisations syndicales », ajoute-t-il, sans en dire plus si ce n'est que la délégation patronale fait du dispositif de baisse automatique, « une question de principe sur lequel [elle] ne lâchera pas ». Lors de la séance du 3 mars, la délégation patronale a suscité l'opposition unanime des syndicats en proposant une clause de baisse automatique des cotisations ne prenant pas en compte le niveau d'endettement cumulé de l'Unédic, contrairement à ce qu'elle avait indiqué auparavant.

ANI DE PROROGATION AU CNE DU 15 MARS

Le fait de conclure éventuellement aussi tard dans le mois de mars ne devrait pas poser de problème pour l'indemnisation des demandeurs d'emploi. En effet, alors que la précédente convention d'assurance chômage devait initialement se terminer le 31 mars 2011, les partenaires sociaux ont unanimement signé, le 3 mars dernier, un ANI (accord national interprofessionnel) pour la proroger jusqu'au 31 mai 2011 au plus tard. Cet ANI, ainsi que celui pour la prorogation de la CRP jusqu'à la même date, sont à l'ordre du jour du CNE (Conseil national de l'emploi) du mardi 15 mars, laissant ainsi le temps aux pouvoirs publics de publier au Journal officiel des arrêtés d'agrément et faire en sorte qu'il n'y ait pas de carence de convention au 1er avril prochain.
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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 22:25

Le 18 novembre 2010, le Conseil de prud’hommes de Boulogne-Billancourt a condamné un employeur à verser à l’une de ses salariées quelques 110.000 euros de dommages et intérêts en raison du harcèlement moral dont cette dernière avait été victime au sein de l’entreprise. Cette condamnation représente l’équivalent de 18 mois de salaire de la victime.

 

 

Les faits

 

Dans cette affaire, une salariée engagée en 2005 en qualité de chef de Projet Développement Clinique est victime de propos racistes au sein de l’entreprise. Elle signale ces faits à son responsable hiérarchique qui ne fait rien. Face à l’inaction de son employeur et compte tenu de la dégradation de sa situation, la salariée est alors arrêtée pour dépression.

 

A son retour, la situation n’évolue pas favorablement. La salariée choisit alors de réitérer ses doléances auprès de son responsable, mais par écrit cette fois-ci. Suite à ces démarches, la salariée est convoquée à un entretien préalable de licenciement.

 

Elle est ensuite licenciée au cours du mois de novembre 2008, « pour comportement non adéquat avec le poste ». Concrètement, l’entreprise argue l’existence d’une démobilisation de l’équipe de recherche médicale dans laquelle la salariée travaillait, en raison du comportement de cette dernière.

 

La salariée décide alors de porter l’affaire devant le Conseil des prud’hommes (CPH) pour obtenir la nullité de son licenciement.

 

 

La décision du CPH

 

S’appuyant sur les conclusions de l’enquête de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde) révélant que la salariée avait fait l’objet d’une discrimination et d’une mesure de représailles pour avoir dénoncé ces agissements, le CPH de Boulogne-Billancourt a condamné l’entreprise à verser 110.000 euros de dommages et intérêts à la victime.

 

« L’article L.1152-4 du Code du travail prévoit que l’employeur est tenu de prendre toutes les mesures nécessaires en vue de prévenir les agissements de harcèlement moral. La jurisprudence a précisé que l’employeur était tenu envers ses salariés d’une obligation de sécurité de résultat et que l’absence ou l’insuffisance de telles mesures, contreviennent à cette obligation », rappelle la Halde.

 

Source : Intelligence RH

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 20:54

(source : © AFP - Joel Saget)

 

La direction de Pôle Emploi a annoncé officiellement jeudi la suppression de 1.800 postes d'ici fin 2011 dans l'établissement public chargé des demandeurs d'emploi, ce que les syndicats ont aussitôt dénoncé comme "une véritable agression à l'égard des salariés".

 

Quelque 1.500 CDD ne seront pas renouvelés et 300 postes en CDI seront supprimés, ont indiqué les syndicats dans un communiqué commun à l'issue d'un comité central d'entreprise (CCE), ce qu'a confirmé Pôle Emploi à l'AFP. Pour les CDI, il s'agira de départs non remplacés et non d'un plan de licenciements, a précisé la CGT.

 

Ces 1.800 suppressions de postes représentent "la prise d'acte du projet de loi de finances de 2011 sur le budget de Pôle Emploi", a expliqué un porte-parole de l'organisme, né de la fusion ANPE-Assedic.

 

Le directeur général Christian Charpy "tient au courant les organisations syndicales", a ajouté le porte-parole, soulignant que "ce n'est pas la direction de Pôle Emploi qui prend la décision des orientations du projet de loi de finances".

 

Le projet de budget de l'Etat pour 2011 prévoit le maintien de la subvention à Pôle emploi au niveau de 2009 mais pas des CDD et contrats aidés embauchés pour faire face à la crise.

 

D'après la CGT, M. Charpy a affirmé que ce chiffre de 1.800 suppressions de postes était "de notoriété publique". Mais "c'est la première fois que le CCE est informé", considère le syndicat.

 

Pôle Emploi compte actuellement environ 49.000 collaborateurs.

 

Pour les syndicats FO, SNAP, CGT, Unsa, CGC, CFDT, CFTC, Sud et SNU, "la situation explosive vécue par les salariés et par ricochet sur les services rendus aux usagers et la situation économique ancrée entraînant la hausse du chômage exigent au contraire une augmentation des effectifs".

 

"Cette annonce inacceptable" de 1.800 suppressions de postes "est vécue comme une véritable agression à l'égard des salariés qui verront une motivation supplémentaire pour se mettre dans l'action du 9 novembre", journée de grève nationale pour demander une amélioration des conditions de travail et d'accueil à Pôle Emploi.

 

Devant la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale jeudi, le secrétaire d'Etat à l'Emploi Laurent Wauquiez a souligné que les "1.600 équivalents temps plein" chargés au recouvrement des cotisations chômage, bientôt transférés aux Urssaf, n'ont pas été supprimés à Pôle emploi.

 

"On garde l'équivalent de 1.300 agents au sein de Pôle emploi, qui vont pouvoir être redéployés sur de nouvelles missions et renforcer les effectifs de Pôle emploi", a-t-il ajouté.

 

Porte-parole du PS sur le budget travail-emploi à l'Assemblée, Jean-Patrick Gille a estimé ensuite dans un communiqué que "l'annonce de la suppression de 1.800 emplois en 2011 ne peut que choquer au moment où le nombre de demandeurs d'emploi suivis par conseiller explose".

 



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31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 18:56

Le gouvernement joue au grattage et au tirage, après la fiscalisation il rabote encore les indemnités journalières des arrêts de travail !

 

La CFE-CGC s’indigne devant les décisions du gouvernement de raboter encore les indemnités journalières de la sécurité sociale. Les prétextes sont dignes des comptes d’apothicaire et ne méritent pas de s’y attarder.

 

La réalité est trop simple les salariés en arrêt de travail pour un accident à cause du travail auront la triple peine :

- la souffrance

- la fiscalisation

- l’amputation de leurs droits avec cette dernière manipulation.

 

Rappelons que la fiscalisation des indemnités journalières ne touche que ceux qui sont soumis à l’impôt c'est dire si les cadres sont concernés!

À cela il faut rappeler que les cadres qui cotisent sur l’intégralité de leur salaire ne sont pas indemnisés à la hauteur de leur salaire, et de loin, pour les indemnités journalières !

 

C’est dans ce contexte que de savants chercheurs à l’IRDES établissent des projections pour mettre en place le bouclier sanitaire à la place des affections de longue durée, en ne tenant compte ni des indemnités journalières plafonnées et rabotées, ni des cotisations fonction du revenu sans plafond pour les membres de l’encadrement !

 

La CFE-CGC interpelle le gouvernement sur ses actes laissant supposer que les cadres sont héritiers d’une charge et d’un privilège !

La CFE-CGC  rappelle que les cadres, s’ils sont cadres ou professionnels, c’est le fruit de leur travail, de leurs études (non prises en compte pour la retraite) et de leur investissement professionnel.

 

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 08:58

Après consultation de ses instances, la CFE-CGC poursuit son action dans l'intersyndicale.


Elle s'implique dans la recherche de propositions communes aux sept organisations syndicales sur les thèmes de l'emploi, des salaires et de la retraite.

 

Celles-ci feront l'objet d'une plateforme de revendications transmise au président de la République lors du deuxième sommet social prévu début mai...

 

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SUPERM'AIDES

 

malakoffmederic2012

PROCHAINE REUNION

***
Lundi 08 septembre 17h30

Liens vers C.E.

Continentale Nutrition (Boulogne-sur-Mer)

Continentale Nutrition (Wimille)